mardi 29 décembre 2015
Liberté d'un soir
Le serpent siffle tard sous le sommeil léger.
Les rires sont broyés le matin, avant d’être
parfumés , nettoyés, pour accomplir leur tâche.
Je dessine un carré ,enfermé dans l’oublie.
C’est juste un geste avare où se déroule l’il;
Sous les pluriels détruits la figure est enviable.
Je connais l’inconscient, sur les fenêtres grises,
poursuivie par l’accord de surplomber l’étage.
Je ressusciterai lors d’une nuit, griffé
par tant de joie, blasé, crayonnant l’aventure.
Pour suivre l’immédiat au bord d ’une forêt,
je dissimulerai mon trésor personnel.
Laurent Pasquelin
Le 29 12 2015
lundi 21 décembre 2015
Regard prématuré
Tu t’en vas ,je saigne, je me lève, me peigne
Tout vient de rien. Le lien doux et flou scrute
sous forme d’une croix les lieux précédant l’être.
Chavirons l’élément pour s’endormir gaiement.
Libre en sa foi ,pour toi ,changeons les lois perdues.
Pour nous ,vomir l’ennuie sans connaître l’orage.
Dépendre de l’âge quand l’impact se compose.
Patiemment, je m’endors où s’envole ce tact.
Toi ,le silencieux peint les reculs abusés
devant le hall d’entrée où l’envieux sera conquis
pour discuter, danser, s’aventurer sans peur,
juste pour toi, lier les courants vers la rive.
Le 21 12 2015
Laurent Pasquelin
samedi 19 décembre 2015
Intense est le plaisir
Demie lune en sagesse où s’endort la tristesse.
Le clairon joue très fort devant la porte close.
tout sera pardonné le Bon Dieu a l'adresse
des lieux cachés, blessés, distributeurs de cirrhose .
Je caresse l’oublie, légers sont nos soupirs.
leste est la joie. Cernée, lourde est sa dépendance
donc les larmes du vent où le sérieux peut souffrir
dominent le bonheur pour garder l’élégance.
Blottit sous les allées le monde est déglingué.
cicatrice fermée, je glande sous la crise
en sirotant un jus .L’histoire est désolée,
les repères sont flous; Bidon est la reprise.
Le 19 12 15
Laurent Pasquelin
mardi 27 octobre 2015
Pour la ficelle du mouvement
La pluie tendrement me soulève
Le vent chatouille mon esprit
L'odeur du vent me réconforte
L’appétit est moteur vivant
Les arrivages me fascinent
Droit vers le but d'un clair repos
J'émancipe mon caractère
L'illusion est un placebo
Tu seras proche de l’éther
Où ce refuge est diabolique
Les passions suaves s’affolent
Aucun regret d'être présent
Nous irons planer en Septembre
Sur les feuilles de l'espérance
Pour des vacances adultères
Où nos parfums s'embrasseront
Le 28 10 2015
Laurent Pasquelin
Le vent chatouille mon esprit
L'odeur du vent me réconforte
L’appétit est moteur vivant
Les arrivages me fascinent
Droit vers le but d'un clair repos
J'émancipe mon caractère
L'illusion est un placebo
Tu seras proche de l’éther
Où ce refuge est diabolique
Les passions suaves s’affolent
Aucun regret d'être présent
Nous irons planer en Septembre
Sur les feuilles de l'espérance
Pour des vacances adultères
Où nos parfums s'embrasseront
Le 28 10 2015
Laurent Pasquelin
Regard prématuré
Rien
Tout
Viens
Fou
Viens
Fou
Puis le regard s"emploie
Sous forme d'une croix
Sous forme d'une croix
Chavirer l'élément
S'endormir clairement
S'endormir clairement
Louer les précédents
Chantonner patiemment
Chantonner patiemment
S'envoler en impact
Démontrer tout le tact
Démontrer tout le tact
Vomir pour toi
Changer les lois
Libre en sa foi
Changer les lois
Libre en sa foi
Pour ne savoir l'orage
Cela dépend de l'âge
Cela dépend de l'âge
Je me lève et me peigne
Tu t'en vas et je saigne
Tu t'en vas et je saigne
Chien
Doux
Liens
Flous
Doux
Liens
Flous
Laurent Pasquelin
le 23 10 2015
lundi 26 octobre 2015
Arrivée
Vers l’effroi protecteur le couvent est bien seul
L’échappatoire vit je découvre les choses
Il pleut dans cet endroit où le recul blasphème
Pour des dommages chauds les récits sont étroits
Je calcule les lieux il fait froid en mon cœur
La paresse est un fait à démolir sans fin
Pour des cafards sanglants l'immédiat est en veille
Je rejoins les remparts liberté d'un affront
Le nul est un regret j'ouvre la porte close
Dans le soucis premier le décors est planté
Les refrains étranglés s'écroulent par milliers
La victoire est au bout les chantiers sont finis
le 27 10 2015
Laurent Pasquelin
L’échappatoire vit je découvre les choses
Il pleut dans cet endroit où le recul blasphème
Pour des dommages chauds les récits sont étroits
Je calcule les lieux il fait froid en mon cœur
La paresse est un fait à démolir sans fin
Pour des cafards sanglants l'immédiat est en veille
Je rejoins les remparts liberté d'un affront
Le nul est un regret j'ouvre la porte close
Dans le soucis premier le décors est planté
Les refrains étranglés s'écroulent par milliers
La victoire est au bout les chantiers sont finis
le 27 10 2015
Laurent Pasquelin
dimanche 6 septembre 2015
Pourquoi
l’œil devient fermé dans l'urgence
les écarts sont injustifiés
le nombre est parfois élégance
le domaine est il crucifié
je me repose parfois tôt
sous l'aile glacée de l'impact
déconcentré sous le manteau
les gestes sont parfois exact
les avances sont immobiles
pensent les gens d'une autre époque
les nuits bleues libres se faufilent
en écoutant les sons baroques
en soleil je flâne un peu trop
l'épouse est top-model criard
mangerons-nous sans apéro
mon compte est proche du milliard
le 06 09 2015
Laurent Pasquelin
mardi 26 mai 2015
Retours
pour les chemins divers harmonie en rumeur
les parts sont en plaisirs soulevées par l'envie
le dessin se défait la couture est fragile
je me souviens de toi en cicatrices faibles
Laurent Pasquelin
mai 2015
les parts sont en plaisirs soulevées par l'envie
le dessin se défait la couture est fragile
je me souviens de toi en cicatrices faibles
Laurent Pasquelin
mai 2015
mercredi 20 mai 2015
Paradis
les retours sont joyeux miracle
ils s'écartent en deuil luisant
les commentaires vifs crépitent
au fond des lieux amers.
Laurent Pasquelin
mai 2015
ils s'écartent en deuil luisant
les commentaires vifs crépitent
au fond des lieux amers.
Laurent Pasquelin
mai 2015
dimanche 3 mai 2015
Départ
je me souviens c'est dramatique
la faible vue dans le désordre
tout le retard explosion vive
la forme vide où bat l'erreur.
les nuits cachées ou décodées
changement frais en simple histoire
un sommeil vif pour des congés
le résumé parvient plus tard.
comme un homme saignant l'envie
en son témoin les pleurs s'effritent
pour un silence effusion brève.
camarade pour un combat
dans la nuit trouble où l’arrêt fixe
les lourds enjeux dans l'invisible.
Laurent Pasquelin
mai 2015
lundi 20 avril 2015
Tous
délivrance chapardée sur l'instant
dormir dans l'abandon précaire jugé
silhouette colorée avançant terne
tous les services reviennent plus tard
mais pourquoi la pluie ficelle mon art
je déverrouille tous les couloirs mixtes
les illusions flambent devant les rues
il fallait chanter à voix haute fier
les correspondances naissent en vue
pour des années de perditions suaves
sillonnant les affront bien mis à part
tous les pardons jaillissent faiblement
mise à part sur l'ouvrage pertinent
les dimensions véhiculent l'erreur
tous les parcours vieillissent dans l'oublie
et moi je suis amoureux de ton être
Laurent Pasquelin
avril 2015
mardi 31 mars 2015
Nous partirons
vers le début paranormal
les fleurs naissent face au soleil
et je raccommode le mal
épingle ton amour pareil
nous irons nous blottir en croix
couvert sous l'arbre condamné
la douce fraîcheur hors la loi
clignera d'un œil destiné
les images hautement dignes
grefferont l'aspect de la mort
cicatrisant l'appel en ligne
nos cœurs accrochés pour la vie
dont nous voulons être dehors
diront simplement :c'est finis
Laurent Pasquelin
Mars 2015
vendredi 13 mars 2015
Oui
l'horrible mémoire pourchasse peu
les souvenirs d’enfant bleu et orange
doux parcours triste lieu affaire vive
je m'allonge parfois je m’endors là
Laurent Pasquelin
le 13 03 15
mercredi 11 mars 2015
Objet
par une image sombre en perfection
le détail est formé dans le probable
il se conjugue à part sous les ombrelles
traversant la nuée par la folie.
je ne propose rien en projection
les mots les sentiments les impressions
ces trois objets sont là se baladant
sur le fil de l'angoisse en anxiété.
la créativité est nécessaire
elle argumente l'art nourrit l'espace
en poésie parfois elle est axée
au cœur de l'expression sous les nuages.
le 12 03 15
Laurent Pasquelin
le détail est formé dans le probable
il se conjugue à part sous les ombrelles
traversant la nuée par la folie.
je ne propose rien en projection
les mots les sentiments les impressions
ces trois objets sont là se baladant
sur le fil de l'angoisse en anxiété.
la créativité est nécessaire
elle argumente l'art nourrit l'espace
en poésie parfois elle est axée
au cœur de l'expression sous les nuages.
le 12 03 15
Laurent Pasquelin
lundi 9 mars 2015
Les remords disparaissent
je présente l'entre-acte et les refrains
pour des unions chantées vers trois fois riens
la blessure mortelle est grande ouverte
pour des propositions dégoulinantes
je repousse l'impact je te veux là
même si nos désirs écrasent tout
je prolonge le temps loin des segments
oui je suis amoureux avant l’après
je peux rêver à vie oui c'est possible
il suffit de compter chaque seconde
les garder calfeutrées prés de l'envol
trouver cette force qui gère tout.....
.....l'amour est très sérieux j'en suis certain......
le 09 03 2015
laurent Pasquelin
lundi 2 mars 2015
Proposition
Je redoute parfois certains appels
Je voudrais juste un soir m’allonger là
M’enraciner en toi chaleur complète
désaxer chaque fois les courants d’airs
T’entendre murmurer mon doux prénom
Laurent Pasquelin
Le 02 03 15
samedi 28 février 2015
Repos
je comprends ces changements capricieux
les glissades se faufilent parfois
sous l'arc imaginaire du soleil
le parfum festif se propage peu
tu poursuis fautives les simples doutes
je nourris nos espoirs avec courage
les partages ripostent lentement
chaque fleur parfume nos souvenirs
tu meurs de chagrin saisissant la peur
le jour de ton départ sera le mien
j'ouvre mon avenir sur le transfert
nos larmes s'épousent pour l'éternel
le 01 03 15
laurent Pasquelin
les glissades se faufilent parfois
sous l'arc imaginaire du soleil
le parfum festif se propage peu
tu poursuis fautives les simples doutes
je nourris nos espoirs avec courage
les partages ripostent lentement
chaque fleur parfume nos souvenirs
tu meurs de chagrin saisissant la peur
le jour de ton départ sera le mien
j'ouvre mon avenir sur le transfert
nos larmes s'épousent pour l'éternel
le 01 03 15
laurent Pasquelin
mercredi 25 février 2015
Tendrement
sous un soleil éclaté en sanglots
la nuit s'appauvrie où naissent les vues
le temps accélère en parties fines
laurent Pasquelin
le 25 02 2015
la nuit s'appauvrie où naissent les vues
le temps accélère en parties fines
laurent Pasquelin
le 25 02 2015
jeudi 19 février 2015
je le savais
je te propose mon, aide sérieuse
tu te contente de tousser pensive
allumant les tracas blessants ,rieuse
j'oublie que tu es sur une autre rive
le 19 02 15
laurent Pasquelin
tu te contente de tousser pensive
allumant les tracas blessants ,rieuse
j'oublie que tu es sur une autre rive
le 19 02 15
laurent Pasquelin
dimanche 15 février 2015
Regret
rien d'absolu en cette errance
les larmes sont sèches éteintes
je voulais te revoir un soir
afin d'ironiser nos sens
les démons de nos nuits sont libres
la dissociabilité pleure
je rejoins mon élément neutre
les discours sont cassés ,fermés
le vent détourne le présent
je décide seul mon parcours
nous n'avons pas fini ce livre
je deviens fatigant parfois
mes angoisses détournent l'air
un léger froid glisse sous l’œil
je ne voudrais surtout pas geindre
il me semble que j'agonise
le 15 02 15
laurent Pasquelin
les larmes sont sèches éteintes
je voulais te revoir un soir
afin d'ironiser nos sens
les démons de nos nuits sont libres
la dissociabilité pleure
je rejoins mon élément neutre
les discours sont cassés ,fermés
le vent détourne le présent
je décide seul mon parcours
nous n'avons pas fini ce livre
je deviens fatigant parfois
mes angoisses détournent l'air
un léger froid glisse sous l’œil
je ne voudrais surtout pas geindre
il me semble que j'agonise
le 15 02 15
laurent Pasquelin
lundi 2 février 2015
Acte libre
j'attendrai le vent en soirée
le dépôt enneigé du ciel
ou bien la forte pluie de nuit
chassant la grêle du matin.
les mains posées sur mon front
la réflexion en sommeil sourd
je me souviens de nos propos
nous étions loin de tout silence
j'apprenais les bruits en mesure
dans les repères nous vivions
parfois nos instants s'écaillaient
et les journées passaient ainsi.
Le 03 01 2015
Laurent Pasquelin
dimanche 1 février 2015
Actif
chose accoutumée en silence
par terre désargenté, vif
sous les réponses incomprises
il existe quelques départs
par terre désargenté, vif
sous les réponses incomprises
il existe quelques départs
où dorment en paix les parleurs
les décideurs de l'impossible
qui voudraient un jour être Rois.
laurent Pasquelin
Le 01 02 2015
les décideurs de l'impossible
qui voudraient un jour être Rois.
laurent Pasquelin
Le 01 02 2015
jeudi 29 janvier 2015
Résumé
lune rousse parfaite et dégonflée
les cils sur le doute étroit et marqué
rappel d'un jour lointain et accablant
je résume la direction étroite
le 29 01 2015
Laurent Pasquelin
les cils sur le doute étroit et marqué
rappel d'un jour lointain et accablant
je résume la direction étroite
le 29 01 2015
Laurent Pasquelin
dimanche 25 janvier 2015
L'ambiance
bavard en silence direct
les épreuves sont immédiates
mais l'angoisse refait surface
le nouvel an est assez fier
il faudra résumer les jours
et parler ensuite enfin
nos silences ricanent forts
je pousse le fil et je danse
les pluriels ne s'excusent pas
leurs départs sont des promesses
mes retours paraissent étranges
je frissonne et regarde en l'air
il est légèrement malade
son absence est un grand service
je voulais dormir ce matin
mais j'écris nos erreurs profondes.
Laurent Pasquelin
Le 21 01 15
les épreuves sont immédiates
mais l'angoisse refait surface
le nouvel an est assez fier
il faudra résumer les jours
et parler ensuite enfin
nos silences ricanent forts
je pousse le fil et je danse
les pluriels ne s'excusent pas
leurs départs sont des promesses
mes retours paraissent étranges
je frissonne et regarde en l'air
il est légèrement malade
son absence est un grand service
je voulais dormir ce matin
mais j'écris nos erreurs profondes.
Laurent Pasquelin
Le 21 01 15
samedi 24 janvier 2015
Et l'autre
Sous les jours renversés d'ennuies
les cascades endeuillées dorment
et les flèches sot éblouies
par les demandes singulières.
j 'enregistre les voix pour suite
infidèle trésor groumant
les joies sont filtrées lentement
dans un pieu bavardage amer
dormant sans les indiscrétions
j'alarme les réveils du temps
les secours créditent l'aveux
il fait froid et je te rejoins
nous ne sommes que l'unité
il est difficile de le croire
et panser les douleurs douteuses
sous les tendres conversations
puis tu m'offres un peu d’alcool
je dessine les rues perdues
nous, un jour il faudra...c'est sur
comme cette glace brisée
je répondrais en habitudes
devant ton regret flamboyant
discutant les tarifs d’hôtels.
j'ai peur de vivre cet instant
Laurent Pasquelin
Le 24 01 2015
les cascades endeuillées dorment
et les flèches sot éblouies
par les demandes singulières.
j 'enregistre les voix pour suite
infidèle trésor groumant
les joies sont filtrées lentement
dans un pieu bavardage amer
dormant sans les indiscrétions
j'alarme les réveils du temps
les secours créditent l'aveux
il fait froid et je te rejoins
nous ne sommes que l'unité
il est difficile de le croire
et panser les douleurs douteuses
sous les tendres conversations
puis tu m'offres un peu d’alcool
je dessine les rues perdues
nous, un jour il faudra...c'est sur
comme cette glace brisée
je répondrais en habitudes
devant ton regret flamboyant
discutant les tarifs d’hôtels.
j'ai peur de vivre cet instant
Laurent Pasquelin
Le 24 01 2015
lundi 12 janvier 2015
soleil cassé fracassé,fin
destruction massive et totale
sous les pleurs immenses cernés
l'ampleur des deuils constant, noirceur
sous le chapiteau de l'humour
brûlure tapageuse et sèche
cicatrice fermée ternie
dans les espoirs extravagants.
tendresse enchristée sous l'effroi
par des instants fragilisées
où le recul s’apitoie,lourd
pour des remords tant désirés
n'est contrarié que le désir
par les jours blasphémés ,outrance
crevés les yeux de l'ignorance
et repartir bailler la vie
auprès des montagnes sanglantes
aspergées par de froides haines
glacées par ce silence immense
douleurs mondialement vécue
j'écris donc pour sauver mon âme
noyée dans un bain ,purifiée
laissant l'avenir fort capable
de proposer des vies aimantes
sous les arbres de l’amitié
fleurissent des cœurs enchantés
cristallisant le parfum clair
en signant l'amour éternel
Laurent Pasquelin
Le 12 01 2015
destruction massive et totale
sous les pleurs immenses cernés
l'ampleur des deuils constant, noirceur
sous le chapiteau de l'humour
brûlure tapageuse et sèche
cicatrice fermée ternie
dans les espoirs extravagants.
tendresse enchristée sous l'effroi
par des instants fragilisées
où le recul s’apitoie,lourd
pour des remords tant désirés
n'est contrarié que le désir
par les jours blasphémés ,outrance
crevés les yeux de l'ignorance
et repartir bailler la vie
auprès des montagnes sanglantes
aspergées par de froides haines
glacées par ce silence immense
douleurs mondialement vécue
j'écris donc pour sauver mon âme
noyée dans un bain ,purifiée
laissant l'avenir fort capable
de proposer des vies aimantes
sous les arbres de l’amitié
fleurissent des cœurs enchantés
cristallisant le parfum clair
en signant l'amour éternel
Laurent Pasquelin
Le 12 01 2015
dimanche 4 janvier 2015
les histoires décollent sous l'aspect
en des refuges bien déterminés
sous les devoirs riches parfois épais
calculés en fait sur le bout du nez
parlez parlez bavards en tout genres
et ne revenez plus sur ce chemin
des pierres galvanisées sont plantées
pour caresser la plante de vos pieds.
personnellement j'écris et dessine
la vie l'amour la mort et la tendresse
sur les jours cafards ou ensoleillés
pour des ouvrages rarement perçus.
Laurent Pasquelin
Le 04 01 2015
en des refuges bien déterminés
sous les devoirs riches parfois épais
calculés en fait sur le bout du nez
parlez parlez bavards en tout genres
et ne revenez plus sur ce chemin
des pierres galvanisées sont plantées
pour caresser la plante de vos pieds.
personnellement j'écris et dessine
la vie l'amour la mort et la tendresse
sur les jours cafards ou ensoleillés
pour des ouvrages rarement perçus.
Laurent Pasquelin
Le 04 01 2015
samedi 3 janvier 2015
Si parfois je m’élance en respirant fort
Le dommage se camouffle
En rires obscurs.
Je transperce l’impraticable
Pour des saisons abandonnées
Sur le fil.
Je découche les lenteurs exécrables
Pour mesurer….
L’adversité de tes paroles.
Nous ne buvons jamais ensemble
Et pour cause…
La solitude.
Laurent Pasquelin
Le 03 01 15
Le dommage se camouffle
En rires obscurs.
Je transperce l’impraticable
Pour des saisons abandonnées
Sur le fil.
Je découche les lenteurs exécrables
Pour mesurer….
L’adversité de tes paroles.
Nous ne buvons jamais ensemble
Et pour cause…
La solitude.
Laurent Pasquelin
Le 03 01 15
jeudi 1 janvier 2015
silence corrigé posé
la surface est problématique
où circule toute l'audace
sur des critères immobiles.
sensations étranges, flagrantes
un cimetière emblématique
en souple discussion ,sagesse
pour des remords éparpillés.
lentement les départs s'écrasent
en bas fonds, explosifs et bruts
ornant de courage, bravoure
les indécis et les futiles.
mariant parfois ,contradictions
oisivetés, passivités
sur des systèmes insolents
où seul le caractère est bon.
journaliers ,vacanciers précaires
étrangetés sur des longueurs
les âmes s'attardent en silence
un jour viendra où l'or sera....
Laurent Pasquelin
Le 01 01 2015
la surface est problématique
où circule toute l'audace
sur des critères immobiles.
sensations étranges, flagrantes
un cimetière emblématique
en souple discussion ,sagesse
pour des remords éparpillés.
lentement les départs s'écrasent
en bas fonds, explosifs et bruts
ornant de courage, bravoure
les indécis et les futiles.
mariant parfois ,contradictions
oisivetés, passivités
sur des systèmes insolents
où seul le caractère est bon.
journaliers ,vacanciers précaires
étrangetés sur des longueurs
les âmes s'attardent en silence
un jour viendra où l'or sera....
Laurent Pasquelin
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Irrationnel
Où est la défaite Dans cet univers Retour en tempête L'histoire est trop clair La chaumière danse Sur l'image nette Enfin je ...
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je comprends ces changements capricieux les glissades se faufilent parfois sous l'arc imaginaire du soleil le parfum festif se propag...
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Lune éclatée en son sommeil Départ dans le compromis lourd La chanson caressante est louche Sur le sol du départ mixé Ton arrêt brut...