lundi 19 mai 2014

Je t'aime


Et le silence est installé entre nous
comme le phare d'une auto en rade aussi
je m'approche du vide en tremblant de partout
le bruit n'est que le fruit d'un souvenir partit

Je dévale cette pente avec du courage
la peur est là ,bien entendue ,logique
je fonce en survie j'ai appris cela avec l'âge
je pense vraiment ;que chaque vie est unique

J'oublie mon vertige des jours traditionnels
je me repose sur l'amour que nous avons
j'imagine possédant une paire d'ailes
j'oublie mes angoisses pour toi je tiens bon

je tends les bras de toutes mes forces possible
ton regard en appel au secours est planté
au plus profond du coeur je deviens invincible
et je te rattrape en plein vol sans lâcheté

Nous retombons tous les deux sur le sol épais
nos larmes de joie s'épousent sur nos visages
et nos coeurs resteront enlacés à jamais
puis notre amour se confond dans les paysages.

Laurent ;Pasquelin

Le 19 05 2014



dimanche 18 mai 2014

Une fois

Si les souvenirs s'arrachent un jour
comme le témoin complice du drame
dans les beaux quartiers et les alentours
je dissimule.une vie qui se trame.

Pour des traits sans valeurs sous les nuages
des discours pompeux cirés en recoins
c'est à toi que je pense au fil des âges
nous aimons en muets de loin en loin.

Je devine  les retours impeccables
glissant dans les ravins en demie-teinte
sous une armure triste et misérable
un secret une douce flamme étteinte.

Nos rappels seront lourds de conséquences
ou bien resteront sourds et silencieux
Je vogue en recul,non en médisance
pour distribuer des signes pluvieux.

Laurent Pasquelin

Le 18 05 2014





mercredi 14 mai 2014

Visage

Oui je ne regarde pas
Loin est ma pensée...
Je dessine en bas
sans effacer...

les reflets rouges
sous le toit.....
comme un ciel qui bouge
où l'on se noie....

Tu reviendras changée
en espoir....
Aménnagée
au sein d'une histoire...

où rien n'est à moi 
sans aucun doute....
Je laisse mes doigts....
Tracer nos routes. 


Laurent Pasquelin

Le 15 05 2014

mardi 13 mai 2014

Pouvoir

j'ouvre le délicat surplus
en grande évidence notoire
des rituels vifs posséssifs
planent en divers souvenirs

Sur des chemins forts,courageux
loin des paradoxes absents
lentement le sérieux s'observe
et j'écris le silence lourd

les lumières sont endormies
plus de cries ni de hurlements
les malveillants  sont au rebus
je marche en suivant les repères


Laurent Pasquelin

Le 13 05 2013



lundi 12 mai 2014

Métamorphose

Divers instants utiles ou pas, c'est selon
La mémoire s'approche lentement de nous
De courte durée sera l'atout du frelon
Des  rivières farfelues mises à genoux

La  plaie se situe au centre, l'axe courbé
Jamais  les appels tourmenteront les instants
Les repères seront désormais légers, fourbés
Caricature si le papiers peint se tend

Nous dormirons demain s’il fait nuit en vertige
Les demandes pleuvent vers d’autres cieux grisâtres
Différence vagabonde, divers vestiges
En corsage profond tels des chutes d’albâtres

Alors je soulignes les absences secondaires
Des cycles indécis virevoltent en l’air
Sous les cortèges familiers, hebdomadaires
Je gagne tu perds, oui, non à chacun son flair.


Laurent Pasquelin

Le 12 05 2014

Irrationnel

  Où est la défaite Dans cet univers Retour en tempête L'histoire est trop clair La chaumière danse Sur l'image nette Enfin je ...