De toute façon, c'est l'absence qui nous mord
En étant prés du vide en potentiel certains
Auprès du vacarme ludique en tourbillon
Les signatures en majuscules s'envolent
Toujours le même départ incertains, présent
Comme des remords agenouillés en instants
Petit à petit les orifices dégagent
Parcelle miniaturisée couvrant l'espace.
J'ai oublié tous les passages en tristesse
Défense pitoyable en reproche soudain
J'aime l'odeur de la liberté proposée
Pour des caresses faciles en intellect
Je dépouille sans cesse toute l'amertume
En profondeur dans un gouffre étroit assombrie
Je dévisage les codes enfin pluriels
Puis cette absence nous reviendra par surprise
Le 23 04 2014
Laurent Pasquelin