samedi 28 février 2015

Repos

je comprends ces changements capricieux
les glissades se faufilent parfois
sous l'arc imaginaire du soleil
le parfum festif se propage peu

tu poursuis fautives les simples doutes
je nourris nos espoirs avec courage
les partages ripostent lentement
chaque fleur parfume nos souvenirs

tu meurs de chagrin saisissant la peur
le jour de ton départ sera le mien
j'ouvre mon avenir sur le transfert
nos larmes s'épousent pour l'éternel

 le 01 03 15

laurent Pasquelin






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