je comprends ces changements capricieux
les glissades se faufilent parfois
sous l'arc imaginaire du soleil
le parfum festif se propage peu
tu poursuis fautives les simples doutes
je nourris nos espoirs avec courage
les partages ripostent lentement
chaque fleur parfume nos souvenirs
tu meurs de chagrin saisissant la peur
le jour de ton départ sera le mien
j'ouvre mon avenir sur le transfert
nos larmes s'épousent pour l'éternel
le 01 03 15
laurent Pasquelin
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire