samedi 22 novembre 2014

Machin

Et le tout ,devient Terrestre
un jour de pluie....
en deuil

Comme cet espace refusé
une nuit de pleine lune;

Tu sais bien ....

tout ce temps passé........

en nuits d'hôtel;

Chevauchant les carapaces,
magnétiques
comme des fusées que l'on allume
un soir d'ennuie....
Juste avant de se courber...


Juste avant de tomber
de mordre...
la poussière


éteindre l'efficace
par des tristesses
souples...


allumer tous les regards ....
Ensuite, disparaitre...
Tu vois ce que je veux dire?

Laurent PASQUELIN
le 22 11 2014

lundi 17 novembre 2014

journée passée
liquidée
emblème


soleil éclaté
lune éteinte


tous les regards bouffonnent
sous la pluie


j'ignore les devantures
les brochures


tout est enviable
jouable
acceptable


tu m'ouvres la porte


je suis là


danse sournoise
pour une illusion traversée sous les pentes du jour


les sensibilités étranges s'observent


je reconnais l'instant 
cet instant.


Laurent Pasquelin


Le 17 11 2014









mardi 11 novembre 2014

Je traverse les épisodes



cachée
derrière les remparts
tu laisse
le désordre là où il se trouve


plongeant dans les raccords parfaits
les parfums oubliés
tu dévore
l'instant


juste un appel
un silence
des retours


je passe
tu m'oublie


Laurent Pasquelin


Le 11 11 2014





lundi 3 novembre 2014





cacher les remords dans les cercueils neutres
où la pluie est aussi douce qu'un feutre


parmi les avantages possédés
des couvres chefs sont peu à peu cédés


contre les amours libertins en deuils
tous les appels se planquent vers cet œil


les remords n'existent plus en ce jour
il en est finie le temps des amours.

Le 03 11 2014
Laurent Pasquelin












dimanche 2 novembre 2014

Mouvement





la nuit se lève doucement
les heures tièdes se dispersent
l'aventure est au bout du temps
la joie domine avec averse


je contemple les doux instants
pensant aux rencontres diverses
parfum d'allégresse charmant
l'amour sera là il traverse


Laurent Pasquelin


Le 03 11 2014


Parfait


tu voudrais bien situer les lieux
loin des instants récalcitrants
en des sommeils paradisiaques
pour des moments irremplaçables


je poursuis les étoiles
et je distingue au loin
les retours flamboyants
pour des caprices infinis


tu ne veux plus opter pour nos sentiments
et je divise les regards tombés
j'ai relu nos  missives
envoyées vers nos écarts d'amour


tu sais les allures se noient
dans l 'immense parfum
en liquide parfait
où se dissipe l'invisible


et toi tu portes  des armures étroites
sous des guenilles bien raides
desséchées lors des amours confondues
auprès de ces lumières scintillantes


en partances nocturnes tu reviendras
je le sais je le sens
et là nous ouvrirons nos espérances
pour l'éternité


Le 02 11 2014


Laurent Pasquelin




Irrationnel

  Où est la défaite Dans cet univers Retour en tempête L'histoire est trop clair La chaumière danse Sur l'image nette Enfin je ...