Tu t’en vas ,je saigne, je me lève, me peigne
Tout vient de rien. Le lien doux et flou scrute
sous forme d’une croix les lieux précédant l’être.
Chavirons l’élément pour s’endormir gaiement.
Libre en sa foi ,pour toi ,changeons les lois perdues.
Pour nous ,vomir l’ennuie sans connaître l’orage.
Dépendre de l’âge quand l’impact se compose.
Patiemment, je m’endors où s’envole ce tact.
Toi ,le silencieux peint les reculs abusés
devant le hall d’entrée où l’envieux sera conquis
pour discuter, danser, s’aventurer sans peur,
juste pour toi, lier les courants vers la rive.
Le 21 12 2015
Laurent Pasquelin
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