mardi 29 décembre 2015
Liberté d'un soir
Le serpent siffle tard sous le sommeil léger.
Les rires sont broyés le matin, avant d’être
parfumés , nettoyés, pour accomplir leur tâche.
Je dessine un carré ,enfermé dans l’oublie.
C’est juste un geste avare où se déroule l’il;
Sous les pluriels détruits la figure est enviable.
Je connais l’inconscient, sur les fenêtres grises,
poursuivie par l’accord de surplomber l’étage.
Je ressusciterai lors d’une nuit, griffé
par tant de joie, blasé, crayonnant l’aventure.
Pour suivre l’immédiat au bord d ’une forêt,
je dissimulerai mon trésor personnel.
Laurent Pasquelin
Le 29 12 2015
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la rivière pleure dans la nuit où le retrait ne comprend rien je suis seul dans ce réduit où l'effondrement se souvient dans un décala...
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