Sous les jours renversés d'ennuies
les cascades endeuillées dorment
et les flèches sot éblouies
par les demandes singulières.
j 'enregistre les voix pour suite
infidèle trésor groumant
les joies sont filtrées lentement
dans un pieu bavardage amer
dormant sans les indiscrétions
j'alarme les réveils du temps
les secours créditent l'aveux
il fait froid et je te rejoins
nous ne sommes que l'unité
il est difficile de le croire
et panser les douleurs douteuses
sous les tendres conversations
puis tu m'offres un peu d’alcool
je dessine les rues perdues
nous, un jour il faudra...c'est sur
comme cette glace brisée
je répondrais en habitudes
devant ton regret flamboyant
discutant les tarifs d’hôtels.
j'ai peur de vivre cet instant
Laurent Pasquelin
Le 24 01 2015
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