samedi 3 janvier 2015

Si parfois je m’élance en respirant fort

Le dommage se camouffle

En rires obscurs.



Je transperce l’impraticable

Pour des saisons abandonnées

Sur le fil.



Je découche les lenteurs exécrables

Pour mesurer….

L’adversité de tes paroles.



Nous ne buvons jamais ensemble

Et pour cause…

La solitude.



 

Laurent Pasquelin

Le 03 01 15

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