Si parfois je m’élance en respirant fort
Le dommage se camouffle
En rires obscurs.
Je transperce l’impraticable
Pour des saisons abandonnées
Sur le fil.
Je découche les lenteurs exécrables
Pour mesurer….
L’adversité de tes paroles.
Nous ne buvons jamais ensemble
Et pour cause…
La solitude.
Laurent Pasquelin
Le 03 01 15
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