rien d'absolu en cette errance
les larmes sont sèches éteintes
je voulais te revoir un soir
afin d'ironiser nos sens
les démons de nos nuits sont libres
la dissociabilité pleure
je rejoins mon élément neutre
les discours sont cassés ,fermés
le vent détourne le présent
je décide seul mon parcours
nous n'avons pas fini ce livre
je deviens fatigant parfois
mes angoisses détournent l'air
un léger froid glisse sous l’œil
je ne voudrais surtout pas geindre
il me semble que j'agonise
le 15 02 15
laurent Pasquelin
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