douceur et tendresse pour cette dernière journée 2014
que les jours à venir soient le plus poétique possible
le 31 12 14
Laurent Pasquelin
mercredi 31 décembre 2014
mardi 30 décembre 2014
Un choix
charme amer vers le précipice
où s'enfonce un léger supplice
pour des rencarts seuls, allumés
en montagnes douces, primées
je voyage pour l'impossible
sur les remords ,indestructibles
chavirés auprès des louanges
certifiant l'arrivée d'un ange.
Laurent Pasquelin
Le 30 12 2014
où s'enfonce un léger supplice
pour des rencarts seuls, allumés
en montagnes douces, primées
je voyage pour l'impossible
sur les remords ,indestructibles
chavirés auprès des louanges
certifiant l'arrivée d'un ange.
Laurent Pasquelin
Le 30 12 2014
samedi 22 novembre 2014
Machin
Et le tout ,devient Terrestre
un jour de pluie....
en deuil
Comme cet espace refusé
une nuit de pleine lune;
Tu sais bien ....
tout ce temps passé........
en nuits d'hôtel;
Chevauchant les carapaces,
magnétiques
comme des fusées que l'on allume
un soir d'ennuie....
Juste avant de se courber...
un jour de pluie....
en deuil
Comme cet espace refusé
une nuit de pleine lune;
Tu sais bien ....
tout ce temps passé........
en nuits d'hôtel;
Chevauchant les carapaces,
magnétiques
comme des fusées que l'on allume
un soir d'ennuie....
Juste avant de se courber...
Juste avant de tomber
de mordre...
la poussière
éteindre l'efficace
par des tristesses
souples...
allumer tous les regards ....
Ensuite, disparaitre...
Tu vois ce que je veux dire?
Laurent PASQUELIN
le 22 11 2014
lundi 17 novembre 2014
journée passée
liquidée
emblème
soleil éclaté
lune éteinte
tous les regards bouffonnent
sous la pluie
j'ignore les devantures
les brochures
tout est enviable
jouable
acceptable
tu m'ouvres la porte
je suis là
danse sournoise
pour une illusion traversée sous les pentes du jour
les sensibilités étranges s'observent
je reconnais l'instant
cet instant.
Laurent Pasquelin
Le 17 11 2014
liquidée
emblème
soleil éclaté
lune éteinte
tous les regards bouffonnent
sous la pluie
j'ignore les devantures
les brochures
tout est enviable
jouable
acceptable
tu m'ouvres la porte
je suis là
danse sournoise
pour une illusion traversée sous les pentes du jour
les sensibilités étranges s'observent
je reconnais l'instant
cet instant.
Laurent Pasquelin
Le 17 11 2014
mardi 11 novembre 2014
Je traverse les épisodes
cachée
derrière les remparts
tu laisse
le désordre là où il se trouve
plongeant dans les raccords parfaits
les parfums oubliés
tu dévore
l'instant
juste un appel
un silence
des retours
je passe
tu m'oublie
Laurent Pasquelin
Le 11 11 2014
lundi 3 novembre 2014
cacher les remords dans les cercueils neutres
où la pluie est aussi douce qu'un feutre
parmi les avantages possédés
des couvres chefs sont peu à peu cédés
contre les amours libertins en deuils
tous les appels se planquent vers cet œil
les remords n'existent plus en ce jour
il en est finie le temps des amours.
Le 03 11 2014
Laurent Pasquelin
dimanche 2 novembre 2014
Mouvement
la nuit se lève doucement
les heures tièdes se dispersent
l'aventure est au bout du temps
la joie domine avec averse
je contemple les doux instants
pensant aux rencontres diverses
parfum d'allégresse charmant
l'amour sera là il traverse
Laurent Pasquelin
Le 03 11 2014
Parfait
tu voudrais bien situer les lieux
loin des instants récalcitrants
en des sommeils paradisiaques
pour des moments irremplaçables
je poursuis les étoiles
et je distingue au loin
les retours flamboyants
pour des caprices infinis
tu ne veux plus opter pour nos sentiments
et je divise les regards tombés
j'ai relu nos missives
envoyées vers nos écarts d'amour
tu sais les allures se noient
dans l 'immense parfum
en liquide parfait
où se dissipe l'invisible
et toi tu portes des armures étroites
sous des guenilles bien raides
desséchées lors des amours confondues
auprès de ces lumières scintillantes
en partances nocturnes tu reviendras
je le sais je le sens
et là nous ouvrirons nos espérances
pour l'éternité
Le 02 11 2014
Laurent Pasquelin
lundi 23 juin 2014
mercredi 18 juin 2014
Logique
en désir, ce bruit sourd sous ce silence lourd
être capable en un seul vent de balayer
l'orage tendue vers des prières paisibles
lorsque le ciel s'endort sous les pierres qui passent.
soleil détruit dans la convenance parfaite
juste des incertitudes jonglant souvent
prés des renaissances cristallisées en somme
parfois la pluie pleure prés de ma fraîcheur douce.
je voulais t'aimer car c'est ce que font les gens
habituellement ils dansent avec joie
je ne comprends pas ton refus clairement net
mais je l'accepte avec force sans discussion .
c'est dans les essais que je m'entrevoie fidèle
les services se font rares mais je discute
avec moi impeccable en ces jours de disette
je voulais m'envoler louant ces lieux.l'air libre.
Le 18 06 2014
Laurent PASQUELIN
être capable en un seul vent de balayer
l'orage tendue vers des prières paisibles
lorsque le ciel s'endort sous les pierres qui passent.
soleil détruit dans la convenance parfaite
juste des incertitudes jonglant souvent
prés des renaissances cristallisées en somme
parfois la pluie pleure prés de ma fraîcheur douce.
je voulais t'aimer car c'est ce que font les gens
habituellement ils dansent avec joie
je ne comprends pas ton refus clairement net
mais je l'accepte avec force sans discussion .
c'est dans les essais que je m'entrevoie fidèle
les services se font rares mais je discute
avec moi impeccable en ces jours de disette
je voulais m'envoler louant ces lieux.l'air libre.
Le 18 06 2014
Laurent PASQUELIN
mardi 17 juin 2014
Ce que je veux
toujours ce train dans le même sens vertical
les couloirs répandues vers l'infinie passage
où je m'assieds à une place sèche, vide
dans l'habitude et le confort de chaque vie.
un savoir vif, fort, digne, fier, calme en tout lieux
développe l'énergie première et concrète
celle qui permet d'avancer dans l'imparfait
puis de s'installer chaudement sur le chemin.
prendre la vitesse nécessaire semble juste,
pour atteindre des sommets réels, inconnues.
voyager dans l'immédiat, cet instant premier
nous portera sur la gloire et l'amour voulue.
la fin ne nous intéresse pas, nullement,
avec certitude j'oublie chaque rencontre
pour n'en garder que l'essence de l'essentiel
le début, les premiers frissons et l'informel.
le 17 06 2014
Laurent Pasquelin
les couloirs répandues vers l'infinie passage
où je m'assieds à une place sèche, vide
dans l'habitude et le confort de chaque vie.
un savoir vif, fort, digne, fier, calme en tout lieux
développe l'énergie première et concrète
celle qui permet d'avancer dans l'imparfait
puis de s'installer chaudement sur le chemin.
prendre la vitesse nécessaire semble juste,
pour atteindre des sommets réels, inconnues.
voyager dans l'immédiat, cet instant premier
nous portera sur la gloire et l'amour voulue.
la fin ne nous intéresse pas, nullement,
avec certitude j'oublie chaque rencontre
pour n'en garder que l'essence de l'essentiel
le début, les premiers frissons et l'informel.
le 17 06 2014
Laurent Pasquelin
lundi 16 juin 2014
Pour
tu m'écoute pleurer en silence tardif
vers des univers plaqués, nus et possessifs.
Sous les yeux hagards en fusion rénovatrice
un détail important contemple son supplice.
je décapsule tous les passe temps notoires
visionnant le début sur les reliefs d'un soir
puis j'idolâtre le présent en traversant
les lieux d'autrefois si tendres ,bouleversants.
Laurent Pasquelin
Le 16 06 2014
vers des univers plaqués, nus et possessifs.
Sous les yeux hagards en fusion rénovatrice
un détail important contemple son supplice.
je décapsule tous les passe temps notoires
visionnant le début sur les reliefs d'un soir
puis j'idolâtre le présent en traversant
les lieux d'autrefois si tendres ,bouleversants.
Laurent Pasquelin
Le 16 06 2014
mardi 10 juin 2014
Victoire
Victoire
C'est dans un signe calme et clair prés du pouvoir
où s'endort la fragilité, l'instant second
que certains matérialisent la peur des autres
pour approfondir, modeler l'instant de vie.
Il faut entendre parfois les cris du courage
ils plafonnent les degrés du lent , court district
où s'écrasent mollement les règles, parfois
instaurés avec l'accord du plus faible aussi.
Et je me ballade au centre de tout cela
la fleur au coin des lèvres en rêvant au ciel
en allant m'allonger sur les nuages clairs
je sifflote gaiement car je suis un poète.
Mais parfois les mots de la révolte s'accouplent
bousculant les virgules et les guillemets
balayant les points d'exclamations et les autres
pour que naissent enfin les interrogations.
Le 11 06 2014
Laurent Pasquelin
C'est dans un signe calme et clair prés du pouvoir
où s'endort la fragilité, l'instant second
que certains matérialisent la peur des autres
pour approfondir, modeler l'instant de vie.
Il faut entendre parfois les cris du courage
ils plafonnent les degrés du lent , court district
où s'écrasent mollement les règles, parfois
instaurés avec l'accord du plus faible aussi.
Et je me ballade au centre de tout cela
la fleur au coin des lèvres en rêvant au ciel
en allant m'allonger sur les nuages clairs
je sifflote gaiement car je suis un poète.
Mais parfois les mots de la révolte s'accouplent
bousculant les virgules et les guillemets
balayant les points d'exclamations et les autres
pour que naissent enfin les interrogations.
Le 11 06 2014
Laurent Pasquelin
dimanche 8 juin 2014
Briller
Vers le soleil vivons en paix pour galoper
afin de combattre chaque silence faible
demeurer en action présent face à l'amour
rester connecté toujours sur l'onde première.
Etre au début de chaque histoire avant la fin
s'alimenter d"espoir au quotidien sans cesse
gagner l'estime la confiance de chacun
naviguer dans tous les recoins du paradis.
Vivre en osmose sous les parfums des lendemains
glisser dans l'eau glacée enlacé de baisés
déposer l'armure des contraintes figées
pour constamment briller en lumière parfaite.
Laurent Pasquelin
Le 08 06 2014
mardi 3 juin 2014
Nous
Je reviendrai te voir demain matin, promis
nous irons en ballade en montagne enneigée
avec fierté, fidélité tel deux amis
pour reconsolider nos cœurs endommagés.
En évitant de frôler nos larmes ensemble
mais en s'agrippant l'un à l'autre par la main
nous pourrons enfin unir nos amours qui tremblent
pour embaumer nos vies et tous les lendemains.
Le 03 06 2014
Laurent Pasquelin
lundi 2 juin 2014
Eternité
Les images s 'éteignent en dessous du vent
sous le feuillage déchiré d'un bel amour
sur la tristesse accommodée par les principeset les pleurs saccadés en mauvaise harmonie.
Je me trouve de nouveau face à la colère
elle n’atteint pas ma simplicité ni ma fougue
la force de l'éclair ne m'intimide guère
je reste solide,stable et indestructible.
Aucune menace ne pourra m'affaiblir
j'accrocherai mon cœur à l'aimant de la vie
Je demeure puissant même sous les tempêtes
mon seul leitmotiv sera toujours ton amour.
Le 02 06 2014
Laurent Pasquelin
lundi 19 mai 2014
Je t'aime
Et le silence est installé entre nous
comme le phare d'une auto en rade aussi
je m'approche du vide en tremblant de partout
le bruit n'est que le fruit d'un souvenir partit
Je dévale cette pente avec du courage
la peur est là ,bien entendue ,logique
je fonce en survie j'ai appris cela avec l'âge
je pense vraiment ;que chaque vie est unique
J'oublie mon vertige des jours traditionnels
je me repose sur l'amour que nous avons
j'imagine possédant une paire d'ailes
j'oublie mes angoisses pour toi je tiens bon
je tends les bras de toutes mes forces possible
ton regard en appel au secours est planté
au plus profond du coeur je deviens invincible
et je te rattrape en plein vol sans lâcheté
Nous retombons tous les deux sur le sol épais
nos larmes de joie s'épousent sur nos visages
et nos coeurs resteront enlacés à jamais
puis notre amour se confond dans les paysages.
Laurent ;Pasquelin
Le 19 05 2014
dimanche 18 mai 2014
Une fois
Si les souvenirs s'arrachent un jour
comme le témoin complice du drame
dans les beaux quartiers et les alentours
je dissimule.une vie qui se trame.
Pour des traits sans valeurs sous les nuages
des discours pompeux cirés en recoins
c'est à toi que je pense au fil des âges
nous aimons en muets de loin en loin.
Je devine les retours impeccables
glissant dans les ravins en demie-teinte
sous une armure triste et misérable
un secret une douce flamme étteinte.
Nos rappels seront lourds de conséquences
ou bien resteront sourds et silencieux
Je vogue en recul,non en médisance
pour distribuer des signes pluvieux.
Laurent Pasquelin
Le 18 05 2014
comme le témoin complice du drame
dans les beaux quartiers et les alentours
je dissimule.une vie qui se trame.
Pour des traits sans valeurs sous les nuages
des discours pompeux cirés en recoins
c'est à toi que je pense au fil des âges
nous aimons en muets de loin en loin.
Je devine les retours impeccables
glissant dans les ravins en demie-teinte
sous une armure triste et misérable
un secret une douce flamme étteinte.
Nos rappels seront lourds de conséquences
ou bien resteront sourds et silencieux
Je vogue en recul,non en médisance
pour distribuer des signes pluvieux.
Laurent Pasquelin
Le 18 05 2014
mercredi 14 mai 2014
Visage
Oui je ne regarde pas
Loin est ma pensée...
Je dessine en bas
sans effacer...
les reflets rouges
sous le toit.....
comme un ciel qui bouge
où l'on se noie....
Tu reviendras changée
en espoir....
Aménnagée
au sein d'une histoire...
où rien n'est à moi
sans aucun doute....
Je laisse mes doigts....
Tracer nos routes.
Laurent Pasquelin
Le 15 05 2014
mardi 13 mai 2014
Pouvoir
j'ouvre le délicat surplus
en grande évidence notoire
des rituels vifs posséssifs
planent en divers souvenirs
Sur des chemins forts,courageux
loin des paradoxes absents
lentement le sérieux s'observe
et j'écris le silence lourd
les lumières sont endormies
plus de cries ni de hurlements
les malveillants sont au rebus
je marche en suivant les repères
Laurent Pasquelin
Le 13 05 2013
en grande évidence notoire
des rituels vifs posséssifs
planent en divers souvenirs
Sur des chemins forts,courageux
loin des paradoxes absents
lentement le sérieux s'observe
et j'écris le silence lourd
les lumières sont endormies
plus de cries ni de hurlements
les malveillants sont au rebus
je marche en suivant les repères
Laurent Pasquelin
Le 13 05 2013
lundi 12 mai 2014
Métamorphose
Divers instants utiles ou pas, c'est selon
La mémoire s'approche lentement de nous
De courte durée sera l'atout du frelon
Des rivières farfelues mises à genoux
La plaie se situe au centre, l'axe courbé
Jamais les appels tourmenteront les instants
Les repères seront désormais légers, fourbés
Caricature si le papiers peint se tend
Nous dormirons demain s’il fait nuit en vertige
Les demandes pleuvent vers d’autres cieux grisâtres
Différence vagabonde, divers vestiges
En corsage profond tels des chutes d’albâtres
Alors je soulignes les absences secondaires
Des cycles indécis virevoltent en l’air
Sous les cortèges familiers, hebdomadaires
Je gagne tu perds, oui, non à chacun son flair.
Laurent Pasquelin
Le 12 05 2014
La mémoire s'approche lentement de nous
De courte durée sera l'atout du frelon
Des rivières farfelues mises à genoux
La plaie se situe au centre, l'axe courbé
Jamais les appels tourmenteront les instants
Les repères seront désormais légers, fourbés
Caricature si le papiers peint se tend
Nous dormirons demain s’il fait nuit en vertige
Les demandes pleuvent vers d’autres cieux grisâtres
Différence vagabonde, divers vestiges
En corsage profond tels des chutes d’albâtres
Alors je soulignes les absences secondaires
Des cycles indécis virevoltent en l’air
Sous les cortèges familiers, hebdomadaires
Je gagne tu perds, oui, non à chacun son flair.
Laurent Pasquelin
Le 12 05 2014
mercredi 23 avril 2014
Pourquoi?
Portes ouvertes, oui.
Les retours tremblotants,
Signalements inouïes;
Rêves bleus, persistants.
Journée emballée; Vide
Pour des retours complets
Vivotant prés du speed.
Sommeil long, dérèglé
Comme un pouvoir construit
Sur le sable mouvant.
Amour fécondé, nuit
Hélas Joie en rêvant..
Laurent Pasquelin
Le 24 04 2014
Le 24 04 2014
De toute façon.....
De toute façon, c'est l'absence qui nous mord
En étant prés du vide en potentiel certains
Auprès du vacarme ludique en tourbillon
Les signatures en majuscules s'envolent
Toujours le même départ incertains, présent
Comme des remords agenouillés en instants
Petit à petit les orifices dégagent
Parcelle miniaturisée couvrant l'espace.
J'ai oublié tous les passages en tristesse
Défense pitoyable en reproche soudain
J'aime l'odeur de la liberté proposée
Pour des caresses faciles en intellect
Je dépouille sans cesse toute l'amertume
En profondeur dans un gouffre étroit assombrie
Je dévisage les codes enfin pluriels
Puis cette absence nous reviendra par surprise
Le 23 04 2014
Laurent Pasquelin
En étant prés du vide en potentiel certains
Auprès du vacarme ludique en tourbillon
Les signatures en majuscules s'envolent
Toujours le même départ incertains, présent
Comme des remords agenouillés en instants
Petit à petit les orifices dégagent
Parcelle miniaturisée couvrant l'espace.
J'ai oublié tous les passages en tristesse
Défense pitoyable en reproche soudain
J'aime l'odeur de la liberté proposée
Pour des caresses faciles en intellect
Je dépouille sans cesse toute l'amertume
En profondeur dans un gouffre étroit assombrie
Je dévisage les codes enfin pluriels
Puis cette absence nous reviendra par surprise
Le 23 04 2014
Laurent Pasquelin
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Irrationnel
Où est la défaite Dans cet univers Retour en tempête L'histoire est trop clair La chaumière danse Sur l'image nette Enfin je ...
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je comprends ces changements capricieux les glissades se faufilent parfois sous l'arc imaginaire du soleil le parfum festif se propag...
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Lune éclatée en son sommeil Départ dans le compromis lourd La chanson caressante est louche Sur le sol du départ mixé Ton arrêt brut...