Rêve d’un matin sans pluriel
Où le néant est un parfum
Humant la liqueur d’autrefois
Stigmatisant les voyageurs
La folie est un matériel
Dans un vide total la nuit
Serrant fort les mains du désordre
Propulsant un charisme sec
Je dépose ici le manteau
A travers les mains délicates
Fermant le signal domestique
Je me repose tièdement
La peur n’a plus de rendez-vous
Fixant la porte de secours
Laissant filer le paradis
En souplesse en nuage court
Le 27 01 2018
Laurent Pasquelin
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