La douceur du film
libre d'accès
pensée
sauvage
quatrième étage
lune endormie réveil sonore
tous les ans le défilé pleure
je passe mes nuits à m'effondrer
ouvrant le lit de nos souvenirs
les particules des lieux saints
en courtoisie honnête
en graphique en dessin
la demeure est logique
en ouvrant tes rondeurs
dominées
esthétiques
épousant la grandeur
ton souffle puissant
grandissant
mord
le voyageur
d'un passé lourd
la vie est stressée.
Laurent Pasquelin
le 10 01 2018
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